Mardi 30 juin, les pays du G5 Sahel (Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger, Tchad), mais aussi la France, l’Allemagne, l’Espagne, l’Italie, l’Union européenne, l’Onu et l’Union africaine, ont salué les progrès significatifs réalisés dans la lutte contre le terrorisme.
Abdelmalek Droukdel, chef du groupe terroriste al-Qaïda au Maghreb islamique, a été tué par les militaires français le 3 juin dernier dans le nord du Mali. L’opération militaire ayant permis cette élimination s’est déroulée dans la région de Tessalit, non loin de la frontière algérienne. Ce jeudi matin, l’état-major de l’armée française a dévoilé le déroulé des faits.
"Un succès majeur", pour Florence Parly. La ministre des Armées a annoncé, vendredi 5 juin, que le chef d'Al-Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI) avait été tué par les forces françaises dans le nord du Mali, près de la frontière algérienne. "Abdelmalek Droukdal, membre du comité directeur d'Al-Qaïda, commandait l'ensemble des groupes qaïdistes d'Afrique du Nord et de la bande sahélienne", a précisé la ministre. Retour sur cette opération militaire française.
Emmanuel Macron veut consolider la présence militaire française au Sahel. Le président français a annoncé ce lundi 13 janvier l'envoi de 220 soldats supplémentaires dans la région pour renforcer la force Barkhane qui combat les jihadistes.
"J'ai décidé d'engager des capacités de combats supplémentaires, 220 militaires viendront renforcer les troupes de Barkhane", a déclaré le chef de l'Etat à l'issue d'un sommet avec les présidents des pays du G5 Sahel à Pau (Pyrénées-Atlantiques), dans le sud-ouest de la France. Pour l'heure, le dispositif Barkhane au Sahel compte 4.500 hommes.